Photographe sur Nantes

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Lever soleil nantes tabarly

Photographe professionnel à Nantes : portraits, reportages et photos commerciales

Je travaille dans la photo depuis plusieurs années, particulièrement dans la création de l’image de marque et du reportage. J’aime mélanger les styles, capter des instants précis ou travaillés notamment lors de la photo culinaire.

Mon objectif : créer des images uniques, authentiques et professionnelles, en studio ou sur place, qui traduisent au mieux votre identité et votre message.

 

Pourquoi choisir un photographe professionnel à Nantes ?

C’est un métier qui demande une maîtrise technique, un sens artistique et une véritable écoute des besoins du client.

Basé à Nantes, j’accompagne aussi bien les particuliers que les professionnels pour transformer leurs idées en images puissantes.

Mes prestations couvrent quatre grands domaines :

  • Portraits professionnels et artistiques
  • Photographie commerciale
  • Reportage photo
  • Photos de produits

Chaque prestation est sur-mesure selon vos besoins, avec la possibilité de déplacer mon studio (éclairages et accessoires) dans le lieu du shooting.

 

Des portraits uniques pour particuliers et professionnels

Le portrait est l’une des disciplines la plus belle en photographie. Il permet de révéler une personnalité, une émotion ou une histoire.

En tant que photographe portraitiste à Nantes, je propose :

  • Des portraits professionnels pour vos CV, profils LinkedIn et présentations d’entreprise. Des images soignées et modernes qui reflètent votre sérieux et votre dynamisme.
  • Des portraits artistiques ou créatifs, destinés aux artistes, musiciens, comédiens ou créateurs qui veulent se démarquer.
  • Des portraits personnels ou familiaux, parfaits pour immortaliser un moment de vie, un souvenir ou offrir un cadeau unique.

Le choix du lieu est essentiel : vous pouvez choisir votre lieu, par exemple à votre domicile, ou un parc, un restaurant…

 

La photographie commerciale pour booster votre communication

Les entreprises ont besoin d’images fortes pour se différencier et attirer l’attention. La photographie commerciale permet de mettre en avant votre activité, vos équipes, vos locaux et vos services avec authenticité et esthétisme. Très utilisée en tourisme, elle sublime un lieu, fais voyager vos clients au travers des prises de vues bien choisies et immersives.

En tant que photographe commercial à Nantes, j’interviens pour :

  • Réaliser des portraits corporate cohérents pour toute votre équipe.
  • Photographier vos locaux, ateliers ou bureaux pour renforcer votre image de marque.
  • Produire des visuels publicitaires adaptés à vos supports de communication (brochures, affiches, campagnes digitales).

Chaque photo est pensée pour répondre à vos objectifs marketing, capter l’attention de vos clients et transmettre votre identité de marque.

 

Le reportage photo : raconter une histoire en images

La photographie de reportage permet de capturer l’authenticité d’un événement ou d’un quotidien. Contrairement à une photo posée, elle raconte une histoire, elle transmet une ambiance.

  • Reportages métiers : valoriser le savoir-faire de vos équipes, montrer vos process de production, mettre en avant vos collaborateurs en action.
  • Reportages culturels ou associatifs : concerts, expositions, festivals, vie associative.

Le reportage offre un contenu riche et vivant, idéal pour vos sites web, communiqués de presse ou publications sur les réseaux sociaux.

 

Shooting pack-shot : sublimer votre produit

À l’heure de l’e-commerce et des catalogues en ligne, la photo de produit est un levier essentiel pour convaincre vos clients. Une image bien réalisée peut transformer l’intérêt en achat.

Je propose à Nantes un service de photographie de produits adapté aux artisans, commerçants, créateurs et entreprises :

  • Packshot sur fond neutre, idéal pour les sites e-commerce et catalogues.
  • Photos créatives de mise en scène, qui contextualisent vos produits et les rendent attractifs.
  • Photographie culinaire, pour restaurateurs, traiteurs et producteurs locaux.

En studio, la lumière et les angles sont travaillés avec précision pour mettre en avant les formes, textures et couleurs. Le rendu final valorise vos produits tout en respectant votre identité visuelle.

Studio photo à Nantes ou séance en présentiel

  • En présentiel : je me déplace dans vos locaux, sur vos événements ou en extérieur pour un rendu plus naturel et spontané.

Cette flexibilité me permet de m’adapter à tous les projets et de proposer une prestation sur mesure.

Qu’il s’agisse d’un portrait professionnel, d’une campagne commerciale, d’un reportage photo ou de photos de produits, je mets mon expertise et ma créativité au service de vos besoins. Basé à Nantes, j’offre des prestations adaptées aux particuliers comme aux entreprises, toujours avec la même exigence de qualité.

Si vous cherchez un photographe à Nantes capable de capturer l’essence de vos projets, de valoriser votre image et de créer des visuels percutants, n’hésitez pas à me contacter. Ensemble, nous construirons des images qui marqueront les esprits et mettront en lumière ce qui vous rend unique.

Qu’est-ce qu’un bon graphiste ?

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Lever soleil nantes tabarly

Définition, qualités, compétences et conseils pour bien le choisir

Le design graphique est devenu un levier incontournable pour les entreprises souhaitant se démarquer dans un univers de plus en plus visuel. Mais qu’est-ce qu’un bon graphiste ? Comment reconnaître un professionnel capable de traduire une identité, une émotion ou un message en image ? Dans cet article complet, nous vous aidons à comprendre ce qu’est un bon graphiste, ses qualités essentielles, ses compétences techniques, ainsi que des conseils concrets pour bien le choisir.

Qu’est-ce qu’un graphiste ?

Un graphiste est un professionnel de la communication visuelle. Son rôle est de concevoir des supports graphiques destinés à transmettre un message clair, cohérent et esthétique. Il peut travailler sur des supports variés : logos, affiches, flyers, chartes graphiques, interfaces web, réseaux sociaux, packaging, etc.

Graphiste freelance ou en agence ?

Un bon graphiste peut exercer :

  • En freelance, avec plus de flexibilité et un contact direct avec le client.
  • En agence de communication, où il travaille en équipe avec des chefs de projet, développeurs, rédacteurs…
  • Le choix dépend de vos besoins, de votre budget et du niveau de complexité de votre projet.

Les qualités d’un bon graphiste

Un bon graphiste ne se limite pas à savoir « faire de belles choses ». Il possède un ensemble de qualités humaines et professionnelles qui garantissent la réussite de votre communication visuelle.

1. Créativité
La créativité est le socle du métier. Un bon graphiste propose des idées originales, tout en respectant votre identité de marque. Il sait faire preuve d’audace, sans tomber dans l’excès.

2. Écoute et compréhension du besoin
Un bon graphiste commence par écouter. Il prend le temps de comprendre vos objectifs, votre cible, vos contraintes. Il pose des questions pertinentes pour cerner vos attentes.

3. Rigueur et sens du détail
Une bonne création graphique repose aussi sur la rigueur. Typographie, alignements, marges, hiérarchie de l’information : un bon graphiste est attentif aux détails qui font la différence.

4. Réactivité et respect des délais
Le respect des délais est crucial, notamment dans le cadre d’un lancement de produit ou d’un événement. Un bon graphiste respecte son planning et communique clairement sur les délais de livraison.

Les compétences techniques indispensables

Pour transformer des idées en visuels impactants, un bon graphiste doit maîtriser un ensemble de compétences techniques.

1. Maîtrise des logiciels de design graphique
Parmi les outils les plus utilisés :

  • Adobe Photoshop (retouche d’image)
  • Adobe Illustrator (création de logos et illustrations vectorielles)
  • Adobe InDesign (mise en page)
  • Adobe XD (UI/UX design)

2. Connaissance des règles de composition visuelle
Il connaît les fondamentaux : couleurs, typographies, contrastes, lignes directrices, grilles de mise en page… Il adapte ces règles à chaque support.

3. Compétences en branding et identité visuelle
Créer un logo ou une charte graphique nécessite une connaissance approfondie du branding. Un bon graphiste sait construire une identité visuelle cohérente, mémorable et alignée sur les valeurs de la marque.

4. UX/UI Design (pour le digital)
Un graphiste qui travaille sur des interfaces web doit aussi comprendre l’expérience utilisateur (UX) et l’interface utilisateur (UI). Il conçoit des visuels à la fois beaux et fonctionnels.

Comment reconnaître un bon graphiste ?

Voici plusieurs critères concrets pour bien choisir un graphiste :

1. Son portfolio
C’est l’élément numéro un à consulter. Le portfolio permet d’évaluer la qualité de son travail, sa polyvalence, son style, et s’il est capable de s’adapter à différents univers graphiques.

2. Les avis clients
Les témoignages et avis Google permettent de juger son professionnalisme, sa ponctualité et sa capacité à collaborer.

3. Son approche stratégique
Un bon graphiste ne se contente pas de créer un visuel joli. Il vous accompagne dans la réflexion stratégique : à qui vous vous adressez ? Quels sont vos objectifs ? Quelle est la meilleure forme graphique pour y parvenir ?

4. Le devis et la transparence
Un bon graphiste propose un devis clair, transparent, détaillant les étapes de création, les délais, le nombre de retours inclus, etc. Fuyez les prix trop bas : cela cache souvent un travail bâclé ou sans suivi.

Les erreurs à éviter lors du choix d’un graphiste

  • Ne se fier qu’au prix : Un tarif bas peut cacher un manque d’expérience ou de rigueur.
  • Imposer une direction créative trop précise : Laissez au graphiste un espace de liberté pour exprimer son talent.
  • Travailler sans brief clair : Un cahier des charges précis permet d’éviter les malentendus.

Où trouver un bon graphiste ?

Voici quelques plateformes et pistes fiables :

Malt, ComeUp (ex 5euros), Graphiste.com : pour trouver des freelances.

LinkedIn : de nombreux graphistes y publient leurs réalisations.

Bouche-à-oreille et recommandations : souvent la meilleure garantie de sérieux.

Dribbble, Behance : des plateformes spécialisées dans les portfolios.

C’est quoi la post-production en photo ? Guide complet

post-production photo sur écran avec logiciel de retouches
Lever soleil nantes tabarly

Introduction à la post-production photo

La post-production en photo est une étape essentielle du workflow photographique. Trop souvent méconnue du grand public, elle consiste à retoucher, corriger et améliorer les images numériques après leur prise de vue. Cette phase permet d’exploiter tout le potentiel d’une photographie brute, notamment lorsqu’elle est capturée au format RAW.

Que vous soyez photographe amateur ou professionnel, comprendre la post-production photographique est crucial pour obtenir des images percutantes, harmonieuses et techniquement irréprochables.

Qu’est-ce que la post-production en photographie ?

La post-production, parfois appelée édition photo ou retouche photo, regroupe l’ensemble des opérations réalisées sur une photo après la prise de vue. Contrairement à ce que l’on pense, elle ne sert pas uniquement à « modifier » une image, mais surtout à la sublimer, corriger les défauts et révéler les intentions artistiques du photographe.

En pratique, la post-production peut aller de simples ajustements de luminosité à des montages complexes en passant par le recadrage, le traitement colorimétrique ou encore la suppression d’éléments indésirables.

Pourquoi la post-production est-elle importante ?

1. Exploiter le format RAW
Les photographes professionnels capturent souvent leurs images en format RAW, un fichier brut contenant une grande quantité d’informations. Ce format permet une plus grande latitude de traitement en post-production, mais nécessite d’être développé avant d’être exploité ou imprimé.

2. Corriger les imperfections
Même avec un bon appareil photo et des compétences solides, certaines imperfections techniques (exposition incorrecte, balance des blancs, bruit numérique) peuvent apparaître. La post-production permet de les corriger efficacement.

3. Affirmer un style visuel
Grâce à la post-production, les photographes peuvent développer une identité visuelle cohérente. C’est notamment le cas dans les domaines du portrait, de la photographie de mariage, ou encore de la photo de mode, où chaque détail compte.

Les principales étapes de la post-production en photo

1. Tri et sélection des photos
Avant toute chose, il faut trier et sélectionner les meilleures images. Cette étape fait gagner un temps précieux et permet de se concentrer sur les clichés les plus prometteurs.

Outils utilisés : Adobe Lightroom ou Photoshop

2. Développement RAW
Le développement RAW consiste à transformer le fichier brut en une image visible et exploitable. C’est ici que l’on ajuste :

  • L’exposition
  • La balance des blancs
  • Les contrastes
  • La netteté
  • La correction de l’objectif (distorsion, aberrations chromatiques)

3. Retouche locale
Une fois les ajustements globaux réalisés, on peut intervenir localement sur certaines zones :

  • Éclaircir un visage
  • Réduire des ombres
  • Accentuer un détail
  • Lisser la peau sans dénaturer

Outils utilisés : Pinceaux de retouche, filtres gradués, masques.

4. Retouche avancée
La retouche avancée va plus loin et peut inclure :

  • Suppression d’objets gênants
  • Fusion de plusieurs images (HDR, panorama)
  • Retouche beauté (peau, yeux, cheveux)
  • Photomontage artistique

5. Exportation et optimisation
La dernière étape est l’exportation de l’image dans le bon format (JPEG, TIFF, PNG), avec les bons réglages de compression pour le web, l’impression ou les réseaux sociaux.

Logiciels les plus utilisés en post-production photo

Voici une liste des logiciels incontournables :

Adobe Lightroom : Idéal pour le tri, le développement RAW, la gestion de catalogues.

Photoshop : Pour les retouches avancées et le travail en couches.

DxO PhotoLab : Réputé pour son excellent traitement du bruit.


La post-production est-elle obligatoire ?

Non, elle n’est pas obligatoire… mais fortement recommandée. À moins de photographier exclusivement en JPEG avec des réglages optimisés, une photo sort rarement « parfaite » directement du boîtier.

La post-production permet de rattraper les erreurs ou d’améliorer des images bonnes mais pas exceptionnelles. Même les photographes de presse ou de reportage y ont recours pour une harmonisation colorimétrique et un traitement rapide.

Post-production vs Retouche photo : quelle différence ?

Ces deux termes sont souvent utilisés comme synonymes, mais il existe une nuance :

Post-production : Ensemble des étapes après la prise de vue (tri, développement, export…).

Retouche photo : Sous-ensemble spécifique qui consiste à modifier l’image (effacer un élément, lisser la peau, etc.).

La retouche est donc une partie de la post-production, mais ne représente pas la totalité du processus.

Les erreurs à éviter en post-production

Surtraitement : Trop de contraste, saturation excessive, effets visibles à l’œil nu.

Recadrage abusif : Réduire la résolution inutilement.

Ignorer la colorimétrie : Une mauvaise balance des blancs peut ruiner l’ambiance d’une photo.

Travailler sur des fichiers compressés : Toujours préférer le RAW pour une meilleure qualité.

Conseils pour une post-production efficace

Travaillez sur un écran calibré : Pour des couleurs fidèles à la réalité.

Faites des pauses : L’œil se fatigue vite, et on peut perdre en objectivité.

Sauvegardez régulièrement : Un bug ou une panne peut vous faire perdre des heures de travail.

Gardez l’original : Ne modifiez jamais directement vos fichiers RAW.

SEO et post-production photo : un atout pour les photographes

Aujourd’hui, les photographes professionnels doivent aussi penser à leur présence en ligne. Une bonne post-production permet de créer des images cohérentes, esthétiques et impactantes pour :

  • Les réseaux sociaux (Instagram, Pinterest, Behance)
  • Les portfolios en ligne
  • Le référencement naturel (SEO photo)

Une image bien retouchée attire l’attention, réduit le taux de rebond et peut améliorer le positionnement d’un site web photo.


Conclusion

La post-production en photographie est bien plus qu’une simple retouche. C’est une étape artistique et technique qui permet de sublimer vos images, de leur donner une identité visuelle forte et de corriger les imperfections liées à la prise de vue. Que vous soyez photographe de mariage, portraitiste, amateur de paysages ou créateur de contenu, maîtriser les bases de la post-production est essentiel pour faire ressortir le meilleur de chaque photo.

C’est quoi un bon photographe ?

shooting mode à nantes androgyne

Prendre des photos ne fait pas un photographe

La photographie est aujourd’hui omniprésente. Avec un smartphone dans chaque poche, chacun peut s’improviser photographe. Pourtant, malgré la démocratisation des outils, il subsiste une distinction claire entre une personne qui prend des photos et un bon photographe. Mais qu’est-ce qu’un bon photographe, au juste ? Est-ce celui qui possède le meilleur appareil photo ? Celui qui capture l’instant parfait ? Ou encore celui qui émeut par la puissance de ses images ? En réalité, être un bon photographe est un subtil équilibre entre technique, créativité, sens de l’observation et relation humaine.

1. La maîtrise technique : une base indispensable

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Un bon photographe ne peut ignorer la technique photographique. S’il n’est pas nécessaire d’avoir un diplôme pour faire de belles images, il est essentiel de maîtriser son matériel et de connaître les fondamentaux de la photographie : l’exposition, la profondeur de champ, la mise au point, la gestion de la lumière, le choix de l’objectif, la composition, etc.

Un bon photographe sait adapter ses réglages en fonction des conditions : lumière naturelle ou artificielle, intérieur ou extérieur, mouvement ou scène statique. Il comprend comment utiliser la vitesse d’obturation pour figer un geste ou créer un effet de flou artistique, comment ajuster l’ouverture pour isoler un sujet ou obtenir une netteté sur l’ensemble de l’image, et comment gérer l’ISO pour éviter le bruit numérique.

La postproduction fait aussi partie intégrante de la compétence technique. Savoir retoucher une photo sans la dénaturer, ajuster les couleurs, la netteté, corriger les petits défauts tout en conservant la cohérence artistique, fait partie du travail du photographe, notamment dans le domaine professionnel.

2. Un regard singulier : la patte artistique

Un bon photographe ne se contente pas de capturer la réalité. Il propose une vision. Il possède un regard personnel, une esthétique reconnaissable, une manière d’interpréter le monde à travers son objectif. C’est ce qui fait la différence entre une photo documentaire et une œuvre d’art.

L’œil du photographe se développe avec le temps, l’expérience, la curiosité, l’observation. Il s’exprime par :

  • Le choix du sujet : ce qu’il photographie et pourquoi.

  • Le cadrage : ce qu’il choisit de montrer ou de cacher.

  • La lumière : naturelle ou artificielle, douce ou dure, directionnelle ou diffuse.

  • Les couleurs ou le noir et blanc : selon l’émotion ou le message à transmettre.

Un bon photographe est souvent un conteur d’images. Il raconte une histoire sans utiliser un seul mot. Il capte une émotion, un moment suspendu, un détail que d’autres auraient ignoré. Il crée du sens à partir de la réalité.

3. La sensibilité humaine : savoir capter l’émotion

Plus que des compétences techniques ou artistiques, un bon photographe se distingue par sa capacité à créer du lien avec son sujet, surtout lorsqu’il s’agit de photographie humaine (portrait, mariage, reportage social, etc.).

Il faut savoir mettre à l’aise, rassurer, faire oublier l’appareil photo. Un bon portrait ne naît pas uniquement d’un bon éclairage ou d’un joli décor. Il naît d’une connexion entre le photographe et son sujet, d’un échange, d’une confiance mutuelle.

Dans les événements comme les mariages ou les baptêmes, le photographe doit se faire discret tout en restant présent. Il doit anticiper les moments forts, capter les rires, les larmes, les gestes tendres, sans jamais forcer ou gêner.

Cette sensibilité humaine est également essentielle en photo documentaire ou humanitaire : savoir s’approcher sans déranger, photographier avec respect, raconter sans trahir.

4. L’adaptabilité : savoir s’ajuster à chaque situation

Un bon photographe n’est pas seulement bon dans un type de photographie. Il sait s’adapter aux contraintes de chaque situation.

  • Un photographe de mariage doit gérer les imprévus, la météo, les retards, tout en restant souriant et professionnel.

  • Un photographe de mode doit collaborer avec des stylistes, mannequins, maquilleurs et suivre des briefs précis.

  • Un photographe animalier doit faire preuve de patience, parfois attendre des heures dans des conditions difficiles pour obtenir un cliché.

  • Un photographe d’entreprise doit comprendre l’image de marque, les enjeux de communication et s’adapter à une clientèle souvent exigeante.

L’adaptabilité passe aussi par la polyvalence technique : savoir shooter en intérieur comme en extérieur, en lumière naturelle ou en studio, avec différents types de matériel.

5. Le professionnalisme : rigueur et éthique

Être un bon photographe, c’est aussi être professionnel dans son approche. Cela implique :

  • Le respect des délais : livrer les photos à temps, selon ce qui a été convenu avec le client.

  • La rigueur dans l’organisation : préparer son matériel, vérifier les sauvegardes, anticiper les besoins.

  • La transparence : établir un devis clair, discuter des attentes, ne pas promettre l’impossible.

  • Le respect des droits à l’image : ne pas publier de photos sans autorisation, respecter la vie privée des sujets.

  • La discrétion : notamment dans les événements privés ou les environnements sensibles.

Un bon photographe sait aussi dire non quand un projet ne correspond pas à ses valeurs ou à ses compétences, plutôt que de bâcler le travail.

6. Une capacité constante à se former et à évoluer

Le monde de la photographie évolue en permanence. De nouvelles technologies apparaissent, les logiciels changent, les attentes des clients aussi. Un bon photographe ne se repose pas sur ses acquis. Il est curieux, il teste, il se remet en question, il apprend.

Cela peut passer par des formations, des ateliers, la lecture de livres spécialisés, l’étude du travail d’autres photographes, la participation à des concours, des expositions.

C’est aussi en pratiquant régulièrement, en photographiant pour soi, en expérimentant, qu’un photographe affine son style et développe sa vision.

7. Le matériel ne fait pas tout

Il est tentant de croire qu’un bon photographe est celui qui possède le dernier appareil à plusieurs milliers d’euros. Or, si un bon matériel facilite le travail, il ne garantit pas une bonne photo.

Un bon photographe peut faire de très belles images avec un boîtier modeste ou même un smartphone, parce qu’il sait jouer avec la lumière, cadrer intelligemment, attendre le bon moment.

L’inverse est aussi vrai : on peut faire des photos banales avec du matériel haut de gamme si l’on n’a pas le regard ou la sensibilité.

8. Une signature personnelle

photoreportage madagascar

Enfin, un bon photographe se reconnaît à sa signature visuelle. Même s’il n’est pas célèbre, ses photos racontent quelque chose d’unique. On retrouve dans ses œuvres une cohérence, un univers, une manière de voir le monde.

Cette signature se construit au fil du temps, à travers les choix esthétiques, les sujets privilégiés, les cadrages, les traitements d’image. Elle permet de se démarquer dans un univers saturé d’images.

Conclusion

Être un bon photographe, c’est bien plus que savoir faire de belles images. C’est conjuguer la maîtrise technique, l’œil artistique, l’intelligence émotionnelle et le professionnalisme. C’est savoir capter la beauté, l’émotion, l’instant, tout en respectant son sujet et en racontant une histoire.

Un bon photographe ne cherche pas seulement à impressionner, mais à émouvoir, interpeller, faire réfléchir ou simplement partager un regard sincère sur le monde. Que ce soit dans le cadre intime d’un portrait, dans l’effervescence d’un mariage ou dans la solitude d’un paysage, son objectif n’est pas uniquement un outil, mais une prolongation de sa sensibilité.

Comment facturer en auto-entrepreneur ?

Les bonnes pratiques pour facturer en tant que micro-entriprise

C’est la question que se posent tous les créateurs lorsqu’ils débutent leur activité : combien facturer ? Comment facturer ? Quel est le bon prix ? Essayons d’y répondre.

Quels sont les tarifs journaliers moyens en France ?

Il existe en France différents baromètres de prix, tous sont différents. Actualisés en temps réel ou une fois par an sur une cible spécifique (freelances, artisans, consultants) L’idée est de vous aider à mieux vous positionner parmi les professionnels ayant le même profil que vous : spécialisation, niveau d’expérience, localisation…

Le baromètre moyen en 2025 (Source Malt)

Développeurs : 576€ / jour
Chefs de projets & Coach agiles : 687€ / jour
Consultants en communication, stratégie et business developers : 735€ / jour
Consultants webmarketing, marketing & analytics : 589€ / jour
Experts Data : 671€ / jour
Graphistes & Photographes : 423€ / jour
Motions designers et réalisateurs : 460€ / jour
Rédacteurs & Community Managers : 438€ / jour

Dois-je m’aligner sur la concurrence ?

L’idée est de proposer un prix en adéquation avec le marché. Il n’est pas tant question de pratique tarifaire pour gagner des clients au départ, mais plutôt de proposer quelque chose de mieux ou de différent. Pensez à vous différencier avec de la forte valeur ajoutée !

La logique des tarifs

Dans certains cas, facturer moins chère vous permettra plus facilement de valider votre offre(ou devis). Cela peut être vrai (marché public par exemple, marché contraint, client modeste). Mais il y a plusieurs inconvénients à cette approche : votre marge est réduite, voire nulle si la mission se passe mal, votre service sera considéré comme du low cost par votre client (ce qui est peu cher vaut peu) votre motivation et la qualité de votre travail peuvent s’éroder, surtout si la mission est longue.

Je baisse mes tarifs pour la première mission

Très souvent dans le service, les autoentrepreneurs ont cette tendance à offrir un tarif attractif lorsqu’ils ou elles détectent que le client à de potentiels besoins futurs. Mais attention ! Le 1er tarif que vous offrez sera la base de négociation de la prochaine mission il est très difficile de faire passer une augmentation de prix le prix que vous pratiquez peut se savoir ailleurs.

Comment facturer en prestation de service auto-entrepreneur ?

Facturation au temps passé : cette méthode consiste à prendre votre taux de base (€/heure) et à le multiplier par le temps passé au service du client.

Facturation au projet (livrables) : ici, si le mode de calcul est identique, vous assumez une grande partie du risque lié à la mission, puisque vous vous engagez sur un prix pour le projet basé sur votre évaluation. Ce type d’approche est à utiliser lorsque vous maîtrisez l’exécution de la mission et que peu d’éléments de risque sont identifiés.

Facturation aux crédits : c’est une méthode qui consiste à vendre des missions récurrentes pour un nombre fixe de crédits. Le client fait l’acquisition de 100 crédits, par exemple, et les consomme à son rythme. Certains coaches utilisent cette formule pour des sociétés en offrant des séances à la demande. Les principaux avantages de cette formule, c’est qu’elle vous permet d’encaisser de la trésorerie en amont de la mission et qu’elle fidélise le client.

Facturation à la performance : cette approche peut être très lucrative, mais comporte des risques certains. En effet, vous garantissez les résultats de la mission, basés sur des indicateurs identifiés en début d’engagement avec votre client. Je connais certains consultants, spécialisés dans l’optimisation énergétique, qui prennent par exemple un pourcentage sur les économies réalisées.

Facturation intégrant la valeur générée : cette approche est certainement la plus ambitieuse et la moins pratiquée par les consultants. Elle consiste à ajuster son prix en fonction des bénéfices et valeurs que vous apportez à votre client. Il faut avoir en tête l’analyse du retour sur investissement, et disposer d’une sérieuse expérience pour envisager cette méthode.

Ces méthodes peuvent être mixées en fonction de la situation et du type de service que vous proposez.

À voir aussi : facturation électronique